Bourbonne 2012

Finale de Bourbonne les Bains : compte-rendu

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Pour les photos ci-dessous, nous remercions www.rallyeracing.fr
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Motivé par Nathalie GOLAZ, une pilote Suisse en rallye moderne, je me suis intéressé à ce rallye, et décidé un peu en dernière minute d’y participer, après qu’Isabelle CRAUSAZ  (Isa, www.isa-crausaz-ch) ait accepté la veille du délai d’engagement de me copiloter (pour la 3ème fois), et ait pu, alors que j’étais à Brest pour l’assemblée annuelle de l’Association Polykystose France (www.polykystose.org), remplir à ma place le formulaire d’inscription, réunir les différents documents indispensables et me renvoyer le tout le jour même du délai d’inscription. Vive les iPad, Wifi et internet, qui permettent ce genre de miracle !

Avant le départ :
Au retour du Tour de Corse, la Mémé ne nécessitait que très peu d’entretien et de remise en état ; réglages, vidange, remplacement de fusible, et Manuel  PEREIRA (Manu), juste avant son départ en vacances, a pu faire le nécessaire, avec son fidèle mécanicien Joao MOITA (Jean), afin qu’elle soit au top de sa préparation.

Une assistance au top :
Pour l’assistance, le patron d’Accro-Race, Mathieu THEVENOT en personne, a pu également bousculer son agenda pour venir s’occuper de l’assistance, et je dois dire que la perfection était au rendez-vous. Pas facile, pour une personne seule, de charger la mémé sur la remorque, de vérifier et compléter le matériel d’assistance, de le charger, et de prendre la route pour Bourbonne-les-Bains. Pendant tout le rallye, tout a été parfait (Isa a eu sa cancoillotte, moi les rillettes et les fruits ; le café Nespresso était sur la table à notre arrivée à l’assistance). En quelques minutes, lors de chaque assistance, l’essence, les vitres, et tous les contrôles de routine ont été faits. Mathieu a été aux petits soins pour tout, y compris, alors qu’il pleuvait à verses, nettoyer la mémé pour qu’elle soit présentable sur le podium d’arrivée. En fin de rallye, notre mécano a pris le temps de manger avec nous (une délicieuse choucroute, offerte à chaque équipage VHC par les organisateurs), avant de s’occuper, tout seul, de récupérer et d’atteler la remorque, de récupérer et de charger la Mémé, et de prendre la route tard dans la nuit (devant être à Oyonnax à 7 heures le dimanche matin pour livrer une voiture à un client). Un tout grand bravo, et respect, Mathieu !

Les reconnaissances :
Partis à midi le mercredi avec Isa, nous sommes arrivés à Bourbonne en fin d’après-midi, et avons décidé de nous dégourdir les jambes en faisant, à pied, la Super-Spéciale de Maynard, longue d’à peine 2 km et située dans Bourbonne. Intéressant de prendre les notes, de mesurer avec le GPS les distances réelles. A notre grande surprise, lorsque nous avons fait notre 1er passage de reconnaissance en voiture le lendemain, nous avons dû corriger quasiment toutes les distances et toutes les graduations de virages. C’est une démonstration que nos habitudes de prises de notes sont relatives au ressenti dans la voiture de reconnaissances, en imaginant ce que cela sera, beaucoup plus vite, dans la voiture de course et en ayant toute la route pour nous.

Le jeudi, nous avons dû prendre le temps de vivre, car le règlement des reconnaissances prévoyait une plage de 10h-13h, puis de 14h-17h. A 10 heures nous étions au départ de la spéciale 3, rejoints par plusieurs concurrents avec qui nous avons pu discuter et sympathiser en attendant l’heure H.

Limités à 3, un premier passage est fait à vitesse très réduite pour dicter les notes (travail difficile du copilote de tout transcrire en roulant), puis 2 passages plus rapides, tout en respectant scrupuleusement les vitesses limites dans les localités (imposées à 30km/h) par égard pour les riverains.

Sachant qu’il y avait 5 spéciales différentes à reconnaitre en 6 heures maximum, nous n’avons pas eu le temps de chômer mais, à notre surprise, notre pause déjeuner, à l’excellent hôtel-restaurant HERARD (http://www.hotelbourbonne.com), s’est fait dans un temps record (45 minutes) et les plats étaient tous délicieux.

Nous avons donc pu boucler nos reconnaissances, 3 passages, avec 15 minutes de battement ! Pas le temps de prendre des photos, de boire un café, ou de faire des pauses pour « se repoudrer » (expression que nous utilisons avec Isa !)
Nous avons logé dans un petit hôtel familial trouvé Nathalie GOLAZ, « Au Relais Thermal » (relais.thermal@orange.fr), situé à proximité immédiate du centre du rallye. Les propriétaires nous ont arrangé sur toute la ligne pour faciliter notre parking, et c’est important de pouvoir dormir tranquilles en ayant garé en toute sécurité la voiture de course, la remorque, le véhicule d’assistance et la voiture de reconnaissances. Chambres correctes, petit-déjeuner et repas du soir menu  type « curiste», prix très compétitifs.

Après nos reconnaissances, en soirée, Mathieu nous a rejoints juste à temps pour manger ensemble, et nous avons pu partir avec la rampe, Mathieu et moi, pour régler les phares. C’est la première fois que j’ai pris le temps, et avec un expert avec moi, pour régler sur route, en conditions similaires à celles que nous allions rencontrer, la rampe de phares. C’est l’eau et le vin car si elle est réglée trop haute, on ne voit rien. Trop basse, on est éblouis et on ne peut pas rouler vite. Le faisceau doit aussi éclairer toute la largeur de la route, et non seulement la partie de droite.

Le rallye :
Le temps étant annoncé comme étant assurément très pluvieux, avec des routes en sous-bois, avec feuilles mortes, portions sales, donc glissantes, j’ai décidé de commander un train de Michelin TB15, pneus d’une technologie dépassée, mais qui vont très bien lorsque les conditions sont telles que celles annoncées. Les carcasses ne sont pas rigides, et de ce fait, les pneus sont très souples. J’ai appris à les apprécier lors du Tour Auto en 2007. Commandés dans les délais, une erreur de Michelin a fait que seuls 3 pneus corrects ont été livrés, avec un pneu d’une autre dimension, et ceci le jour de notre départ pour Bourbonne. Manu a pu donc monter les 3 pneus adéquats et, après d’âpres négociations, nous avons pu trouver un 4ème pneu, qui nous serait livré le jour même du départ, sur place, par un autre concurrent (Hervé et Elisabeth BAILLIERE, super sympathiques d’avoir accepté de nous l’amener depuis la région Parisienne). Heureusement, après les vérifications administratives et techniques, nous avions 5 heures pour mettre la voiture en parc fermé, délai qui a permis à Mathieu de prendre livraison du pneu et de trouver un garage qui l’a monté rapidement et gratuitement. Merci au Garage Michaud / Citroën de Bourbonne-les-Bains.

1ère étape

ES1 : Larivière – Serqueux , 6.22 km.
C’est vers 18h30 que le rallye a démarré du parc fermé, sous la pluie. En confiance par le matériel parfait et de très bonnes notes, nous sommes partis pour 2 spéciales : la première de 6 km, suivie par la courte Super-Spéciale de 2 km.

Le terrain s’avérant super glissant et super piégeux, c’est avec une certaine nervosité et une conduite un peu hâchée que nous avons rempli notre contrat, en terminant la première spéciale à la 13ème  place (à 51 secondes de la tête de la course : Gérard MORIERE, puis Jean-Claude ANDRUET à 4 secondes du premier), soit plus de 10 secondes par km. C’est énorme !

ES2, Maynard , 2.04 km
Dans la Super-Spéciale, que nous avions reconnue à pied et donc bien mémorisée, nous faisons le 11ème temps, perdant 2 secondes sur Hervé BAILLIERE, que je connais pour être performant, mais à ma portée. L’excellent Bernard PHILIPPON, avec qui, pendant le Tour de Corse, nous avons lutté âprement, est  devant nous pour 11.6 secondes. En tête,  Gérard MORIERE se montre un niveau plus rapide que Jean-Claude ANDRUET : 2.5 secondes d’écart sur 2 km, c’est monstrueux, quelle performance (plus d’une seconde au km) ! Pour nous, l’écart avec la tête est de 14.3 secondes, soit plus de 7 secondes au km ! C’est beaucoup. Vraiment, la nuit n’est pas mon truc. Il ne reste qu’à appréhender les 4 dernières spéciales du lendemain, qui elles se courront aussi de nuit et sous la pluie.

Nous finissons cette première étape à la 12ème place, à 25 secondes de BAILLIERE, et à 30 secondes de PHILIPPON, en sachant que nous n’aurons que 8 spéciales de jour le lendemain pour essayer de remonter avec suffisamment de marge pour ne pas tout reperdre avec les 4 dernières spéciales de nuit.

2ème étape, 1ère boucle de 3 spéciales

Contrairement aux prévisions météo,  il n’a pas plu pendant la 1ère boucle de 3 spéciales et la route séchait à toute vitesse, au point de nous faire envisager de monter des pneus « sec » lors de la première assistance.

ES3, Lavernoy – Varennes-sur-Amance, 12.37 km
Gérard MORIERE, toujours sur une autre planète, bat à nouveau Jean-Claude ANDRUET. François GUYOT complète le podium provisoire.

Bernard PHILIPPON fait un excellent 6ème temps, et je suis pleinement satisfait de réaliser le 9ème chrono, battant Hervé BAILLIERE de 6.4 secondes. PHILIPPON se détache, en nous prenant 13 secondes, c’est-à-dire plus d’une seconde au km. Ce sera très difficile de venir le reprendre, s’il est plus rapide de nuit comme de jour.

Derrière nous, la Mitsubishi de David HUGLA et Véronique ROCQUE, avec qui nous sympathiserons et dînerons à la fin du rallye, se montre très compétitive, et il va falloir assurer ses arrières.

Je prends confiance dans l’excellente tenue de route de la Mémé. Manu m’a vraiment fait une auto extraordinaire ! Les TB15 sont également parfaits dans toutes les zones piégeuses, glissantes, humides, notamment sur une petite zone sur terre (500 m).

ES4, Laneuvelle – Damremont, 5.6 km
Dans une zone très piégeuse, un enchainement de virages se terminant dans les bois par un long virage très serré recouvert de feuilles et de terre, nous passons l’équipage Gérard MORIERE / Odette GABELLA, qui sont dans le fossé. Visiblement sans trop de dégâts, mais la course est finie pour eux. Nous voyons aussi des traces de sortie de route et apprendrons plus tard qu’il s’agissait de la Porsche de Geoffroy et André GODIE.

Nous réalisons un excellent 5ème temps, à 12 secondes (seulement !) du premier équipage, François GUYOT / Eric BERTHIER, qui battent Jean-Claude ANDRUET / BICHE de 7 dixièmes de seconde seulement. Ouf, nous avons réussi à devancer nos lièvres : Bernard PHILIPPON d’une demi-seconde, David HUGLA de 6 secondes, et Hervé BAILLIERE de 8 secondes !

ES5, Melay – Genrupt, 9 km
François GUYOT réitère le scratch, devant ANDRUET à 5 secondes, et GUILLEMIN à 7 secondes. Bernard PHILIPPON fait un excellent 4ème temps, à 13 secondes de GUYOT, et nous rappelle qu’il sera intouchable à la régulière.

Nous faisons un très bon 7ème temps, à 4.5 secondes de PHILIPPON. BAILLIERE n’est pas loin, avec un 9ème temps , mais nous lui reprenons 9 secondes.

Après cette 1ère boucle de 3 spéciales, la route est sèche, mais en arrivant à l’assistance, la pluie commence à tomber, et de gros nuages noirs couvrent l’endroit de la prochaine spéciale. Nous ne prenons pas le risque et gardons nos pneus pluie, quitte à perdre du temps et de les dégrader si la 2ème boucle se faisait sur routes sèches.

2ème boucle : ES6, 7 et 8

Toujours sur le sec, sauf dans les sous-bois et et zones humides, nous maintenons le rythme et réalisons les 7ème, 6ème et 9ème temps, avec la satisfaction de battre PHILIPPON d’un dixième de seconde dans l’ES 6 ! Ce dernier ne sera pas à l’arrivée de l’ES 8 ; nous apprendrons qu’il a fait une sortie de route sans gravité en heurtant l’une des bottes de paille qui constitue une chicane.

3ème boucle : la nuit tombe

ES 9 Lavernoy – Varennes-sur-Amance, 12.37 km
Dans les parties en sous-bois, il commence à faire suffisamment sombre pour que la rampe de phares soit efficace. Je n’ai pas confiance dans ma visibilité, surtout dans les zones très rapides où, à fond de 5ème, nous passons facilement les 200 km/h.

Nous faisons le 7ème temps et devançons nos 2 amis concurrents : BAILLIERE de 3.6 secondes, et HUGLA de 10.4 secondes.

ES10, Laneuvelle – Damremont, 5.6 km
La nuit est tombée. Le « just-for-fun » n’est plus tant d’actualité… il faut tenir, et finir le rallye. Nous perdons 0.2 secondes sur BAILLIERE, mais prenons 6 dixièmes à HUGLA.

ES11, Melay – Genrupt, 9 km
Nous faisons le 8ème temps. Davis HUGLA sent qu’il peut remonter et se lance à l’attaque. Il fait le 6ème temps, nous prenant plus de 16 secondes. Hervé BAILLIERE est encore derrière nous, mais pour 6.4 secondes.

4ème et dernière boucle : la pluie redouble ; la fatigue se fait sentir… vivement la fin !

ES12 Lavernoy – Varennes-sur-Amance, 12.37 km
Nous faisons le 13ème temps… carrément mauvais. David HUGLA continue son attaque et fait le 6ème chrono, nous prenant 22 secondes. Hervé BAILLIERE nous sent proches et fait le 8ème temps ; il nous prend près de 14 secondes. A ce moment, Hervé BAILLIERE est à 6 secondes derrière nous au général, et nous devançons David HUGLA de 41 secondes.

ES13, Laneuvelle – Damremont, 5.6 km
David HUGLA attaque : 6ème temps, nous prenant 14 secondes. Hervé BAILLIERE, quant à lui, signe le 8ème chrono et nous reprend 4 secondes.  Nous limitons les dégâts en faisant le 10ème temps, mais lors de cette spéciale, nous avons  laissé la 7ème place à  BAILLIERE.

ES14,  Maynard , 2.04 km
Arrivés au CH, la course est arrêtée. Nous apprenons qu’il s’agit d’un couac dans l’organisation, car aucune équipe de commissaires n’était en place à l’arrivée des concurrents. Après une petite heure d’attente, pénible en raison de la pluie et de l’envie de terminer enfin ce rallye, dont la 2ème journée avec 12 spéciales a été très longue, une équipe de commissaires arrive et intègre ses postes. Le départ sera alors donné manuellement par un directeur de courses transi, la tente de départ, montée en catastrophe, ne le couvrant pas.

Dans la file, nous pensons à tous ces commissaires et bénévoles, qui ont œuvré avec abnégation dans des conditions adverses pour nous permettre de nous amuser pendant ce rallye. Un grand merci à eux.

Les données nous concernant, avant le départ dans cette Super-Spéciale de 2 km, sont les suivantes :

7 206 BAILLIERE Hervé CHAMPAGNE BAILLIERE Elisabeth PORSCHE 911

3S

C5S

1:06:32,20 06:03,70
8 212 SERVAIS Franck Suisse CRAUZAZ Isabelle PORSCHE 911 RS

2

B6

1:06:35,0 06:06,50
9 224 HUGLA David PLANTAGENET ROCQUE Véronique MITSUBISHI Lancer 2000 Turbo

3S

C5S

1:07:02,80 06:34,30

A cet instant, les BAILLIERE nous devancent de 2.8 secondes, et nous devançons David HUGLA / Véronique ROCQUE de 27 secondes. Pas trop de risques derrière… mais est-il raisonnable d’essayer de chercher Hervé et Elisabeth BAILLIERE ?

Je profite de l’attente pour regarder le classement réalisé la veille dans des conditions similaires. BAILLIERE nous a pris 2 secondes juste.  Nous avons devancé HUGLA de 3.8 secondes.  Nous devrions non seulement nous améliorer par rapport à cela, mais prendre 1.5 seconde au kilomètre à notre concurrent direct, qui fait régulièrement jeu égal avec nous, et qui est meilleur de nuit sous la pluie. Mission très difficile.

Je prends le départ le couteau entre les dents, très concentré. Isa me sort les notes avec grande motivation, dans le ton, juste parfaitement. J’ose un peu plus que d’habitude. Sur le pont, la voiture saute presque, juste le temps de la stabiliser avant de piquer dans le virage droite serré où il ne faut surtout pas toucher la borne à l’intérieur. Ca passe… vite… et une dernière équerre à gauche qui nous mène vers l’arrivée, masquée par un droite serré. Je garde… et m’occupe de gérer la grosse dérobade de la Mémé juste à la cellule, face au camping-car des commissaires de l’arrivée !

4ème temps scratch !

Clt Conducteur Asa Coéquipier Voiture Groupe Classe Temps Ecarts

1

203

ANDRUET Jean-Claude VEHICULES D’EPOQUE BICHE PORSCHE 911 RSR

2S

B6S

01:38,20 74,9 km/h

2

201

LEVASSEUR Jean-Pierre SPORT AUTO OCEAN FOUCRY Michel PORSCHE 911

3S

C5S

01:38,60 00:00,40

3

204

GUYOT François LANGRES BERTHIER Eric PORSCHE 934 Turbo

3S

C5S

01:38,70 00:00,50

4

212

SERVAIS Franck Suisse CRAUZAZ Isabelle PORSCHE 911 RS

2

B6

01:39,90 00:01,70

5

213

PERROUSE François GRASSE MAIFFRET Michel OPEL Kadett GTE

2S

B4S

01:42,10 00:03,90

6

206

BAILLIERE Hervé CHAMPAGNE BAILLIERE Elisabeth PORSCHE 911

3S

C5S

01:43,40 00:05,20

7

209

GELIN Norbert VINS DE MÂCON BUYS Pierre-Noël PORSCHE 911 SC

3S

C5S

01:43,70 00:05,50

8

202

GUILLEMIN François CHAMPAGNE CHARLOT Patrick OPEL Kadett GTE

3S

C3S

01:44,0 00:05,80

9

226

PAQUERAUD Daniel BEAUJOLAIS TEILLARD Bernadette VOLKSWAGEN Golf GTI

3

C2

01:49,90 00:11,70

10

224

HUGLA David PLANTAGENET ROCQUE Véronique MITSUBISHI Lancer 2000 Turbo

3S

C5S

01:51,40 00:13,20

Contrat plus que rempli ! Nous prenons 3.5 secondes aux BAILLIERE et leur piquons la 7ème place du classement général pour seulement 7/10ème de seconde !

Finalement, le classement sera modifié suite à la disqualification pour non conformité de l’Opel de François PERROUSE, et c’est à la 6ème place que nous terminons, avec grande satisfaction, ce rallye.

Classement Final

Clt Conducteur Coéquipier Voiture Groupe Classe Temps Ecarts
1 203 ANDRUET Jean-Claude BICHE PORSCHE 911 RSR

2S

B6S

1:02:06,70
2 204 GUYOT François BERTHIER Eric PORSCHE 934 Turbo

3S

C5S

1:03:22,50 01:15,80
3 202 GUILLEMIN François CHARLOT Patrick OPEL Kadett GTE

3S

C3S

1:04:47,40 02:40,70
4 201 LEVASSEUR Jean-Pierre FOUCRY Michel PORSCHE 911

3S

C5S

1:05:24,0 03:17,30
5 209 GELIN Norbert BUYS Pierre-Noël PORSCHE 911 SC

3S

C5S

1:05:56,20 03:49,50
6 212 SERVAIS Franck CRAUZAZ Isabelle PORSCHE 911 RS

2

B6

1:08:14,90 06:08,20
7 206 BAILLIERE Hervé BAILLIERE Elisabeth PORSCHE 911

3S

C5S

1:08:15,60 06:08,90
8 224 HUGLA David ROCQUE Véronique MITSUBISHI Lancer 2000 Turbo

3S

C5S

1:08:54,20 06:47,50
9 205 PONTHIEU Olivier PONTHIEU Margaux RENAULT 12 Gordini

2S

B3S

1:10:57,70 08:51,0
10 228 DA SILVA Francis HENRIQUES Roger VOLKSWAGEN Golf GTI

3

C2

1:11:46,80 09:40,10
11 229 DUFOSSÉ David ZINGLE Jeremy VOLKSWAGEN Golf GTI

3

C2

1:12:06,60 09:59,90
12 227 LAJOIE Thierry COUTAREL Colette FORD Escort MK1

2S

B2S

1:14:01,90 11:55,20
13 211 VERCHERE Jean NEU Jean-Eric PORSCHE 911 RS

2S

B6S

1:14:48,0 12:41,30
14 226 PAQUERAUD Daniel TEILLARD Bernadette VOLKSWAGEN Golf GTI

3

C2

1:15:36,10 13:29,40
15 216 VOISIN Robert LUÇON Pascal PORSCHE 911 SC

3S

C5S

1:15:49,40 13:42,70
16 208 HUMBERT Jean-Louis BRODUT Marc PORSCHE 911 SC

3S

C5S

1:16:49,0 14:42,30
17 219 LANNI Jean LANNI Dominique ALFA ROMEO 2000 GT

2S

B4S

1:17:01,40 14:54,70
18 207 CHAUVET Patrick SERVIER Sylvie PORSCHE 911

1S

A5S

1:17:12,10 15:05,40
19 230 MALSOT Alain BILLOTET Cédric VOLVO Amazone 122 S

1S

A5S

1:19:50,80 17:44,10
20 218 CARMILLE Dominique MASSON Kévin B.M.W. 2002 Ti

2S

B4S

1:21:35,0 19:28,30
21 225 SCHMITT François PIERRAT Brice B.M.W. 2002 Ti

2

B4

1:23:33,10 21:26,40

 

Videos
Une caméra embarquée, ES11 Lavernois (6ème temps 7’11)

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