– le compte-rendu de ma Best Copi féminine !

7ème Rallye du Chablais, 28-29 mai 2010

Un rallye magnifique, réputé difficile avec, ce week-end, des conditions météo qui ont encore augmenté la difficulté…

J’ai eu de la peine à réaliser, jusqu’à ce jeudi soir, où nous sommes arrivés à Lavey avec la “Mémé”, la magnifique et vaillante, que dis-je, mythique Porsche 911 Carrera RS 2,7 1973 de Frank, sur la remorque. Nous partirons avec le n° H2. Toute l’équipe s’est rendue à l’apéritif donné par les organisateurs, où je retrouve plein de sympathiques “collègues” et têtes connues… joli week-end en perspective…

Vendredi matin : J1
Au vu de la couleur du ciel et de notre appréciation du terrain, nous décidons de laisser les TB15, pour routes mouillées, déjà montés sur la “Mémé” en prévision d’un temps un peu “pourri”… C’est ainsi chaussée, et parée de ses atours de course, qu’elle se rend au contrôle technique. Juste auparavant, Frank et moi nous sommes rendus aux vérifs administratives : contrôle des permis et licences, présentation du PTH ; on nous remet également les dernières instructions. Après le briefing de 12h30 à la salle polyvalente, nous partons manger tranquillement, puisque notre départ (sortie du CH parc fermé) n’est prévu qu’à 14h50. Dès 13h15, les moteurs des premières “modernes” vrombissent, et nous les voyons défiler depuis la terrasse… je salue mes “potes de course”… Cédric et Daniel, Pascal et Letizia, Xavier et Yannick, etc, qui nous passent devant… belle ambiance !

Nous gagnons le parc fermé 10 minutes avant notre heure de pointage et je me renseigne sur “les petites choses” pour me rassurer. Enfin, nous sortons du parc fermé et nous nous dirigeons vers le parc d’assistance. C’est le “bal” habituel, réglé comme du papier à musique par le “Jura Team Parc’s”, alias la famille Gassmann et leur équipe, aidé par l’armée.

Notre assistance, les amis de Frank : Albin, Jean-Jacques et Claude, nous attendent. Ce dernier aurait dû être un concurrent sérieux; cependant, sa 914/6 n’étant pas prête à temps, il a été contraint de renoncer au rallye, et nous fait l’amabilité de se joindre à Albin et Jean-Jacques pour nous aider à l’assistance. Il fait encore beau, mais vu la couleur du ciel, nous décidons de garder les TB15.

Nous nous dirigeons vers la première spéciale du rallye, “Les Avants”, qui part de Sonzier, direction Les Avants et Jaman via le fameux et redouté Pont de Pierre. En arrivant, nous croisons, à notre grand étonnement, des “modernes” qui redescendent ! Frank m’interroge et je lui confirme qu’effectivement, “ce n’est pas par là qu’on est censés redescendre, et qu’il y a probablement un problème sur l’ES”. Nous arrivons au CH et nous nous enquérons de ce qui se passe via “radio couloirs”. Nous apprenons qu’en raison de plusieurs sorties de route, l’ES est neutralisée. En effet, il n’est pas difficile d’imaginer que ce tracé, très sinueux et piégeux, rend le dépannage difficile, voire impossible. Je monte pointer en compagnie de mes collègues navigateurs et les commissaires en poste nous confirment l’information. Toutes les voitures doivent monter, les commissaires informent les équipages qu’ils doivent se rendre au CH 2 à Evionnaz, et tout ce petit monde redescend en direction de l’autoroute.

Arrivée au CH de l’ES 2 à Evionnaz, c’est à nouveau l’encolonnade… on attend, on nous dit que ça repart… on se casque, on se harnache, on est prêts… mais non, on ne part plus… Grosses sorties de route devant nous, dépannages qui se prolongent… et c’est annulé ! Il y a une bonne vingtaine de “modernes” devant nous, et tout le monde est prié de rejoindre la route cantonale et de rentrer directement pour le regroupement, puis une assistance. De là, nous repartons pour la seconde boucle.

Arrivée pour l’ES 3, “Les Avants”. Re-encolonnade d’au moins 30-40 voitures… l’ambiance deviendrait presque trop… décontractée… et ça sent la neutralisation de course à plein nez ! Je monte à nouveau pointer, et on nous annonce la même chose que tout à l’heure. Je croise l’ami Gérard “Videorace” Brönnimann et son amie Jacqueline qui remballent leurs caméras… je papote avec les autres équipages… et je retrouve mon pilote et ses acolytes en train de tailler le bout de gras avec un très sympathique riverain… Ca nous change de l'”accueil” des cueilleurs de narcisses du week-end de recos.

Nous redescendons donc pour l’ES 4 à Evionnaz via l’autoroute, comme tout à l’heure… re-encolonnade… je constate la fracassée qu’ont pris les frères Fournier, vu l’état de la C2 R2 de FloRacing… une jambe de force avant et le moyeu sont carrément arrachés, quasi toutes les vitres ont explosé sous le choc, les deux trains sont morts, l’avant est défoncé, la coque est morte… J’apprends aussi la sortie de route de Xavier et Yannick dans “Les Avants”… ça “calme” comme on dit… heureusement, je les croiserai plus tard à Lavey, sains et saufs…

Il pleut des cordes… et finalement, la course est relancée… nous nous élançons aux alentours de 20h… heureusement que nous avons monté la rampe… je sais qu’avec une telle météo, il fait sombre très tôt dans la forêt qui monte sur Morcles…

L’entrée en matière est sérieuse… le bout terre est très très glissant et la Mémé est bousculée… Mais je comprends dans la seconde que Frank maîtrise son sujet ; jamais elle ne lui échappe, et il change aussitôt de rythme. C’est en confiance que nous abordons la zone de La Balmaz… ça s’enchaîne très vite, mais je me sens à l’aise… viens la portion que je “n’aime pas”, cette longue route étroite et bosselée qui peut délester à certains endroits si le freinage est mal négocié (et nous envoyer dans le Rhône… heureusement, la brigade veille), juste avant le pont entre Evionnaz et Collonges… fantastique, on passe ce pont très “propre”, et c’est l’envolée direction la montée que j’adore !
Hélas, pas suffisamment sûre de moi, un “doute” vient s’immiscer en une fraction de seconde entre l’équipage et je me perds un peu après le “cabanon blanc”. J’annonce donc “à vue”… 3 virages s’écoulent, je ne me recale pas, et c’est le “tout droit” dans le chemin au lieu d’un droite, qui fait manoeuvrer Frank et nous fait perdre au moins 5 précieuses secondes… je me recale en vue du G2 – vers le panneau “déchèterie”, et là, enfin, je suis dans la course et les notes tombent jusqu’à l’arrivée ! Je suis très déçue de ma contre-performance, pas fière, je doute… mais je ne me laisse pas démonter, et essaie de relativiser l’incident… Frank sait gérer ce genre de chose.

Nous pointons en 4ème position des VHC, et demain matin, nous sortirons du parc fermé à 7h43.

J2, samedi matin
Nous arrivons devant le parc fermé peu avant 7h30, où nous rencontrons les derniers équipages de “modernes” à partir ainsi que nos “adversaires” en VHC. A la sortie du parc, direction l’assistance, où nous décidons – toujours au vu de la couleur du ciel – de conserver les TB15 pour la première boucle Tour d’Aï / Col de la Croix / Bex-Lavey.

Après l’assistance, nous partons sur la liaison qui nous amène au pittoresque et charmant village de Luan. Aucun souci sur le routier et nous arrivons facilement à l’heure, mais constatons qu’il y a encore une trentaine de “modernes” qui attendent avant le CH de l‘ES 5, “Tour d’Aï”… Nous l’apprenons très vite, la course est neutralisée en raison de deux sorties de route sur la spéciale. Le dépannage est d’autant plus difficile qu’un équipage est en fâcheuse posture, voiture sur le toit, dans le très étroit tunnel des Agites, dans la première portion. L’attente promet donc d’être longue et nous profitons de nous détendre en papotant avec nos petits camarades et des gens en vacances…
Finalement, la course repart et nous nous préparons au fur et à mesure que nous voyons les modernes partir. C’est bientôt notre tour; nous sommes désormais sanglés dans l’auto et il s’est écoulé plus d’une heure depuis notre arrivée. C’est la première du matin, nos pneus et nos freins sont froids, et nous aussi. Nous décidons de partir en assurant… et heureusement, car je suis victime d’une légère déconcentration en tout début de parcours, peut-être un peu obnubilée par l’idée d’annoncer les virages précédent, le changement d’adhérence ainsi que l’entrée du tunnel suffisamment tôt à mon pilote. En effet, les abords et l’intérieur du tunnel sont encore plus glissants que d’ordinaire, les commissaires nous l’ont annoncé, en raison d’une importante fuite d’huile de la voiture accidentée il y a une heure… La chaussée est vraiment “casse-gueule”, mais Frank assure et dirige sa “Mémé” vers la sortie avec maîtrise.
La suite de cette longue ES (plus de 21 km) se poursuit sans heurt… nous enchaînons les virages jusqu’aux fameuses places de char, où nous ne voyons pas les sorties d’avance et où la prise de note a une énorme importance… puis c’est la finale en “apothéose” comme j’aime, les fameux ponts, sur une piste large comme une place de fête, longs virages tout en appui à grande vitesse, longs tronçons tout droit à fond et longues courbes à fond à grande vitesse tout en appui, avec quelques “pièges” sous forme de virages  sur/dans/pour les petits ponts qui vous sauteraient à la figure sans bonnes notes… on arrive… bonne entrée en matière. Nous commençons à bien nous coordonner.

Poursuite du parcours de liaison en direction des Diablerets, pour l’ES 6, du Col de la Croix, en version longue, qui nous amènera aux portes de Villars en passant par ledit col. Ca tombe bien, j’adore cette spéciale. Toute la route est très bosselée, mais c’est plutôt large et la “Mémé” se faufile sans problème… on monte d’un cran puisque Frank signe le 2ème temps de la catégorie VHC, derrière Mr. Toedtli, qui sera quasiment intouchable durant tout le rallye. Dans cette ES, nous sommes même 26ème scratch toutes catégories confondues. Gérald Toedtli, avec sa vénérable Escort 1600, ne laisse même que 12 “modernes” faire un meilleur temps que lui !

Depuis Villars, descente sur Ollon, puis direction Bex, où nous attend l’une des spéciales les plus techniques de ce rallye, l’ES 7 Bex-Lavey. Il s’agit de Lavey-Bex, que j’ai connue, à l’envers ! J’aime bien cet endroit, en plus, il y a souvent beaucoup de spectateurs (toujours gratifiant). J’appréhende cependant un petit peu les changements d’adhérence brutaux, avec des portions où il va falloir freiner en descente sur des chemins étroits, défoncés et très sale. Je suis un peu en retard dans quelques virages qui précèdent la ferme, mais je ne me perds pas. Les virages et changements de direction s’enchaînent à bon rythme, les notes tombent… la confiance va crescendo ! Surtout dans la partie très étroite, super bosselée et qui descend très fort vers le D2 – (ou “équerre” gauche peu avant la remontée dans la forêt)… des freinages appuyés sont nécessaires, et aux bons endroits, avec la bonne trajectoire, sinon c’est le crash assuré…

La “Mémé”, qui a le comportement type de la “prop’ ” glisse et se balance un peu du train arrière… et voilà qui confirme, encore une fois, que Frank maîtrise son sujet ! Malgré ce revêtement absolument pourri, à aucun moment la “Mémé” n’est en perdition, et à aucun moment je n’ai peur. Les commissaires nous ont averti que dans la dernière portion, dans le bois, est rendue encore plus délicate par la présence de deux voitures concurrentes accidentées qui se trouvent de part et d’autre de la route près d’un passage déjà étroit et glissant d’ordinaire; je l’ai noté d’après leurs indications… Nous terminons l’ES 3èmes de notre catégorie. Je me trouve encore insuffisamment précise dans mon rythme de “craché de notes”, un peu “à la rue” en début et en fin de parcours, mais ça le fait !

Voilà la première boucle de la journée “bouclée” et après un regroupement “tout droit” à l’école de Lavey, nous nous rendons en direction du parc d’assistance… Nous décidons de monter les Toyo, au vu du soleil radieux et de l’assèchement de la route, et nous repartons à l’assaut de la Tour d’Aï, où nous nous mettons nous-mêmes une “valise” par rapport au premier passage ! Cette fois, pas de neutralisation de course, et cela sera ainsi toute la journée ! Nous sommes 3ème à la Tour d’Aï, et signons à nouveau le 2ème temps dans le Col de la Croix version courte.

Dans Bex-Lavey, c’est le scratch VHC !!! On est “LES MEILLEURS”, dixit la commissaire au point Stop 🙂 Pas peu fiers, car dans une ES aussi technique, c’est le pilotage qui fait la différence, de même que la précision des notes. Je me suis même surprise à motiver Frank en sortie d’épingle droite, tout à la fin de la spéciale, dans les 2 derniers virages pour l’arrivée…

Après une nouvelle assistance, changement d’ES, et c’est vers la Super-Spéciale en boucles “spectacle” de Vérossaz que nous nous dirigeons désormais, la “Mémé” toujours chaussée des Toyo. En général, j’adore les super-spéciales, car c’est là que j’assure le mieux, niveau notes. J’appréhende un peu la portion de la descente après le D2 – du pylône… Après une petite attente, vu que les départs se font aux ordres du starter, et non à la minute, nous prenons le départ et Frank fait tourner la “Mémé”, dont la luge touche à quasi chaque bosse, à un rythme effréné ! Il faut souligner que c’est une auto vraiment très physique à piloter, et Frank l’inscrit parfaitement dans les virages et épingles grâce à une gestion très fine entre volant et gaz. Les virages s’enchaînent et les 3 tours et demi sont achevés en 5’24”4 ! Nous faisons le 2ème temps, à 2,7” de Bruno Rizzi-Luc Santonocito et leur Ford RS 2000. L’intouchable GéraldToedtli ne leur concède que 0,8” ! Tout au long de la course, on va se voir, on compare nos temps, on se raconte nos petites anecdotes… c’est vraiment une super ambiance, nos “adversaires” sont tous très sympathiques !

Nous partons ensuite pour l‘ES 12, “Les Rives”, sur la route du même nom, sur les hauts de Choëx… sur le routier, la pluie se met à tomber, et il se produit ce que je ne voulais pas : partir dans “Les Rives” sous le déluge ! Route ô combien vertigineuse, et si il y en a bien une dans laquelle il ne faut pas se sortir, c’est celle là (j’ai encore les souvenirs de 2007, avec les voitures de Hotz et Nicollier “au trou” au fond du ravin, le torrent… l’hélitreuillage de ma “collègue” Nathalie) En plus, la “Mémé” est toujours chaussée des Toyo (pour le sec). Nous décidons donc de privilégier la prudence ; mon appréhension est probablement palpable, je ne me trouve pas assez véloce dans mon “craché de notes” dans la dernière portion, un peu pourrie, après le bois. Tout du long, Frank a joué la sécurité maximum et nous rallions l’arrivée de l’ES sans frayeur aucune !

L’avance acquise en début de journée nous a permis de remonter à la 3ème place du classement provisoire… toute la journée, nous cherchons à “paner la H3”, c’est-à-dire Eddy Bérard et Samuel Gailland avec leur Ascona qui marche très fort, pour décrocher la 2ème place. Mais nous serons déjà heureux de finir !

Un regroupement “express” à Champéry, où M. Burdet (chef “relation concurrents” de longue date) me tend un salvateur verre de Coca, merci Monsieur :-)), et une assistance, nous partons pour la dernière boucle, la “Mémé” à nouveau chaussée des TB15, et signons le 2ème temps VHC dans la SS de Vérossaz, et également le 2ème temps VHC dans l’ultime ES des Rives, juste derrière Toedtli, avec un 29ème temps scratch du rallye sur 62 voitures en lice à ce moment là.

“On l’a fait !” Heureux, nous entamons la dérupe en direction de Champéry… et au bas de cette descente, un spectacle dont nous allons bientôt faire partie nous attend… les 3 concurrents VHC de devant nous, nous attendent et nous accueillent par des applaudissements ! C’est magnifique !

Nous sommes tous très fiers, j’en ai presque la larme à l’œil !!! Voilà un état d’esprit qu’on ne voit plus en “moderne” depuis bien longtemps ! On s’arrête, et on se félicite chaleureusement… et on attend encore les deux Fiat des Palma et de Naegli-Zimmermann… les voilà !!! C’est l’apothéose ! nous étions 6 à prendre le départ, 6 à l’arrivée ! Quelle belle preuve de fiabilité, pour ces “grands-mères” ! Nous accueillons donc les deux équipages des Fiat par des applaudissements ! après quelques accolades, nous décidons quasi tacitement de descendre tous ensemble, en convoi, jusqu’à l’arrivée finale de Lavey ! Un pote, grand fan de rallye, me SMS pour me féliciter et je lui annonce que les VHC arrivent en fanfare à Lavey ! FAN-TAS-TIQUE !!!

Pour résumer :
Un très beau parcours, avec des spéciales aux portions très techniques, avec des portions piégeuses, changements d’adhérence, bosses, cassures, boue, caillasse, où il faut savoir où mettre les roues (trajectoire), accélérer, freiner ou ne pas freiner, pour ne pas se “sortir”, mais aussi des tracés très rapides, avec des longs virages en appui, des passages aussi très “moteur”, où la puissance joue quand il faut relancer en sortie d’épingle (mais la dextérité du pilote encore plus)… des changements de condition météo brutaux “le jour et la nuit” entre le sec, puis le déluge, savoir quand changer de pneus (facteur “chance” aussi de la partie) …le rallye du Chablais, c’est tout ça à la fois !

Les résultats :
Souvent 3ème ou 2ème dans les spéciales, en signant même un scratch VH dans la 10, nous terminons 3ème des VHC, en 2h43’05”, ce qui nous place à la 33ème place au général, toutes catégories confondues (ex aequo avec l’équipage “moderne” Thierry Krummenacher-Sarah Dussex sur Citroën Saxo).

A noter que l’équipage Eddy Bérard – Samuel Gailland est bel et bien devant nous à la régulière, puisque leur temps, dans un premier temps, crédité d’1 minute de pénalité, était injustifiée et qu’ils sont bien 2ème des VHC.

Nous terminons donc sur le podium, mon tout premier en rallye en ce qui me concerne ! MAGNIFIQUE !

Ma “petite fierté égoïste à moi” : j’étais la seule femme à courir dans la catégorie VHC… ces messieurs ont tous été d’une galanterie et d’une bienveillance exemplaire avec moi… sauf quand ils avaient l’outrecuidance de nous battre dans les ES 😉

1’000 MerciS :
Un immense MERCI à Frank
pour la confiance témoignée, merci de m’avoir engagée pour ce rallye, une place à droite EN OR !

Merci aussi à Patrick Ciocca, son BestCopi habituel, qui a dû me prêter sa place à cette occasion, merci pour tes conseils avisés et précieux ! MERCI à Albin, Jean-Jacques et Claude pour votre dévouement sans faille tout au long de ce week-end… une assistance “au top”, avec même le “pétage de record” de changement de roues, avec mention particulière à Albin, Prix du déguainage de jerrycan et d’entonnoir à Claude et Jean-Jacques, et Prix de l’Accueil à tous les 3, FANTASTIQUE !

Merci aux commissaires, merci à toute l’équipe du Jura Team Parc’s, “the best races parc’s team in the world”… sans vous, il n’y aurait déjà plus de course automobile en Suisse, merci au Bikers Security Belgium, nos amis motards belges fidèles au poste chaque année, merci aux spectateurs, en particulier aux supporters et admirateurs des “anciennes”, qui nous ont fait le privilège de rester pour nous voir passer, immense merci à Videorace/Gérard Brönnimann et son équipe, aux photographes aussi, aux ouvreurs, et enfin au Comité d’organisation, à tous les acteurs de ce rallye qui font un boulot formidable dans toutes les conditions possibles et imaginables !

Enfin, à nos adversaires du week-end, c’était TOP, super ambiance… je suis encore “dedans” !

A tous : Champions du monde !

Classement final VHC :
– Vainqueurs : Gérald TOEDTLI-Manu GUEX, sur Ford Escort RS 1600, en 2h02min10’8 (28èmes au général !!!)
– 2èmes : Eddy BERARD-Samuel GAILLAND, sur Opel Ascona 400, en 2h03min11’9
– 3èmes : Frank SERVAIS-Isabelle CRAUSAZ, sur Porsche 911 Carrera RS, en 2h03min40’5
– 4èmes : Bruno RIZZI-Luc SANTONOCITO, sur Ford RS 2000 GTO, en 2h04min58’6
– 5èmes : Roberto PALMA-Riccardo PALMA, sur Fiat 128 Rally, en 2h11min45’7
– 6èmes : Peter NAEGLI-Marco ZIMMERMANN, sur Fiat Abarth 124 Rally, en 2h13min42’2

Tous les classements : http://www.swissrally.ch/saisons/2010/result_chablais_es.html

Tous les résultats, ES par ES :
http://62.2.243.237/rallye/chablais/ralspeciale.php?rid=212

Des photos :
http://www.facebook.com/photo.php?pid=1337493&id=1277166530

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